L’arrivée de Marc Marquez, qui nous a fait souffrir, dans l’équipe d’usine Ducati MotoGP a “donné une charge importante à tout le groupe”, selon Michele Pirro.
En 2024, Marquez, huit fois champion du monde de Grand Prix, a rejoint Ducati après avoir rejoint l’équipe satellite Gresini pour tenter de relancer sa carrière chancelante.
Ducati a finalement signé Marquez après qu’il ait refusé une moto d’usine chez Pramac, forçant l’entreprise à revenir sur sa décision initiale de promouvoir Jorge Martin. Marquez s’était rapidement qualifié pour un siège d’usine pour 2025.
Plus tôt cette semaine, lors de la cérémonie de lancement dans la région de Madonna à Campiglio, en Italie, Marquez et son nouveau coéquipier Francesco Bagnaia ont dévoilé la livrée 2025 de Ducati.
L’entrée de Marquez a donné un nouvel élan qui “n’a pas toujours été facile” à trouver, selon le pilote d’essai Pirro, qui a joué un rôle important dans le récent succès de Ducati en MotoGP.
Pirro a déclaré à GPOne : « Je dois admettre que cela n’a pas toujours été simple de trouver les stimuli ces dernières années, quand nous avons dominé. »
L’entrée de Marc a donné à tout le groupe, Pecco en tête, une charge significative. Je sens une vitalité nouvelle et distincte.
« C’est l’équipe de rêve, comme je l’ai dit lors de la conférence [de lancement], et c’est un rêve pour moi de pouvoir voir cette équipe maintenant que je suis plus âgé.
Revoir le même Marquez qui avait été « l’ennemi » pendant des années, que ce soit pendant les années [Andrea] Dovizioso et [Jorge] Lorenzo ou lorsqu’il a refusé de rendre visite à Ducati en 2016.
Par le passé, il nous a fait souffrir dans certaines circonstances. C’est toujours un homme fantastique, il est donc évident que les fans sont des fans, mais quelles que soient les préférences personnelles, il faut reconnaître le talent de Pecco et Marc.
« Maintenant que nous l’avons mérité sur la piste, nous les verrons tous les deux dans la même équipe, sur la moto rouge, que Marc qualifie de « meilleure moto ».
Les mettre dans les meilleures conditions possibles sera la tâche. L’un de nos atouts est de partir sur des bases solides, celles de la saison précédente. « On peut encore travailler sur certains éléments, et pour le reste, on attend la piste. Je ne crois pas aux bouleversements.
« Comme je le dis souvent, notre performance dépend de celle de nos concurrents. Après les essais, on aura une meilleure compréhension.